Ils ont été aidés par l’Eft … voici leur témoignage :
Jalousie … jalousie
Mon mari a une collègue avec laquelle il s’entend particulièrement bien. Ils se voient bien sur tous les jours.
Rationnellement, je sais qu’il m’aime et qu’il est honnête, mais dans la pratique, cette situation devenait ingérable pour moi.
J’ai été jusqu’à lui demander de changer de boulot, essayer de me faire engager dans la même société.
Ma vie devenait un enfer : je surveillais ses appels, j’allais jusqu’à son travail à l’improviste, ….
Lui, il se sentait injustement traité et jugé car notre vie devenait un enfer, je le questionnais sans cesse, on se disputait de plus en plus.
J’ai pris Rdv chez Thérapie Liège, Madame Preud’homme m’a proposé de travailler en Eft, technique dont je n’avais jamais entendu parlé.
Je vous avoue que j’ai été un peu surprise au début. Mais ce qui m’a le plus interpellée, ce sont les résultats ! Incroyable !
En effet, mes sentiments de jalousie se sont très vite transformés en colère, puis en tristesse. Cette jalousie, cette colère, cette tristesse ont été évacuées très rapidement.
Le plus étonnant c’est que les mêmes images, les mêmes pensées : voir mon mari avec sa collègue, sont seulement présentes dans mon esprit mais sans aucun sentiment désagréable qui les accompagne. C’est une sorte de neutralité.
Le résultat, c’est que le climat s’est vraiment apaisé à la maison. Et … le plus extraordinaire …. c’est que je voulais un deuxième enfant, mon mari n’était pas pour …. et bien vous savez quoi ? …. C’est lui qui vient de m’en reparler!
Agnès, 28 ans, architecte.
Dysfonctionnement sexuel
J’ai trente deux ans, un petit garçon de 4 ans et je vis avec ma compagne depuis 3ans.
Nous nous entendons merveilleusement bien.
Elle prend soin de mon fils comme si c’était le sien, nous avons pleins de projets ensemble.
Seule ombre au tableau, notre sexualité. Il y a un an, j’ai commencé à souffrir d’éjaculation précoce.
A vrai dire, cela me tracassait plus que ma compagne, qui elle tentait de me rassurer.
Après avoir consulté en sexologie, j’ai eu une petite amélioration, puis à nouveau, le phénomène s’est reproduit.
J’ai consulté Thérapie Liège à ce sujet, nous avons d’abord eu un entretien.
J’ai compris que je pouvais avoir des attitudes mentales qui faisaient revenir le problème.
En effet, à force de vouloir contrôler, de me culpabiliser, je ne faisais qu’aggraver les choses.
Avec Madame Preud’homme, nous avons démêlé tout cela et travaillé en Eft pour évacuer toutes ces pensées et ces sentiments désagréables.
Je peux vous dire qu’à l’heure actuelle, j’ai retrouvé une vie sexuelle épanouissante, et même mieux qu’auparavant, plus riche, avec plus de fantaisies.
Ce que j’ai apprécié aussi dans le travail que nous avons fait, c’est que l’accent est mis sur l’importance de la relation dans son ensemble.
Cela m’a fait d’avantage prendre conscience de l’amour que nous éprouvons mutuellement ma compagne est moi.
Fabian, 32 ans, instituteur.
Accroc au chocolat !
Tous les jours, je mange du chocolat, j’adore çà!
Ca va peut-être vous étonner, mais je ne vais pas vous dire qu’en ayant fait de l’Eft, j’ai arrêté d’en manger!
Quand j’ai consulté, j’en consommait entre 100 et 150gr par jour. J’ai essayé d’arrêter seule, de demander à mon mari de le cacher, de m’empêcher d’en acheter … J’en avais « physiquement » besoin, je devenais enragée si je n’avais pas ma dose. Il m’est même arrivé d’en voler !
Je suis allée voir le médecin, j’ai pris des médicaments qui enlèvent les envies de sucre … çà a marché tout un temps, puis j’ai craqué.
J’ai consulté Thérapie Liège et nous avons travaillé en hypnose et en Eft.
Grâce à l’hypnose, j’ai pu « réapprendre à goûter » le chocolat, à l’apprécier. Et par l’Eft, j’ai pu éliminer toute la culpabilité et la colère qui étaient en moi à chaque fois que je mangeais du chocolat.
Le résultat ? Je reste grande amatrice de chocolat, mais ce qui a changé, c’est ma consommation et mon rapport au chocolat.
J’en consomme, deux à trois fois par semaine, un morceau de 10gr, et je vous jure que je savoure cet instant !
Si on m’avait dit un jour que je pourrais faire cela et avoir plus de plaisir avec 10 gr de chocolat qu’avec 150, je vous aurais ris au nez! Je pensais que je serais condamnée à « arrêter pour toujours » ou à devenir obèse et diabétique …. Mais non, il y a une voie du milieu.
Je suis super contente de pouvoir déguster et de découvrir de nouvelles saveurs, en accord avec moi-même.
Anne-Marie, 50 ans, Informaticienne
Acrophobie, peur des hauteurs !
Je suis indépendant et travaille comme couvreur depuis plus de 30 ans. Il y deux ans, j’ai eu très peur. Il y avait du vent, et, à un moment où je ne m’y attendais vraiment pas, il y a eu une rafale.
Je me suis retrouvé presque couché dans la corniche, qui était heureusement très large et solide dans cette veille ferme.
J’étais tétanisé, mes collègues, qui étaient de l’autre côté du bâtiment n’avaient pas ressenti la bourrasque et se demandaient ce que je faisais.
J’étais incapable de bouger, je transpirais, je me sentais comme paralysé.
Finalement, ils m’ont aidé à rentrer par la tabatière et je suis revenu au sol par l’intérieur du bâtiment.
Depuis, je suis remonté sur les toits, pas le choix, mais c’était horrible! J’avais mal au ventre et à la tête, avec une peur constante qui ne me quittait pas, même la nuit.
Je suis allé voir le médecin, mais je ne peux pas me permettre de prendre des médicaments qui me relaxe ou me feraient dormir alors que je suis toute la journée sur des échelles et des toits.
J’ai vu une psychologue, même si ça m’a fait du bien de parler, la peur avait un peu diminué, mais elle est revenue, peut-être un peu moins forte.
Ma belle soeur m’a parlé de thérapie Liège, car elle s’était faite aidée là il y a 3 ans pour arrêter de fumer.
Je dois vous avouer que j’y suis allé sans vraiment y croire. Je trouvais très étrange cette façon de se « tapoter » et de répéter des phrases!
Toujours est-il que cela fait maintenant 6 mois que je remonte tout à fait normalement sur les toits.
J’ai retrouvé le plaisir de travailler, d’être sur des hauteurs, de voir les villes et les campagnes comme personne ne les voit.
Jean-Paul, 54 ans, indépendant